La silhouette de ce village perché est rythmée par les volumes imposants de ses édifices religieux. Après les Bénédictins, fondateurs au VIIIe siècle de l'abbaye St Pierre, actuel lieu de production des dragées à l'anis, les Ursulines puis les Dominicains s'implantent aux XVIIIe et XIXe siècles. Dédiée à St Genest, l'église paroissiale, érigée au Moyen Age, abrite des stèles ornées de miséricordes.